L'�vangile de la masse d'armes :

Un :

" Le plaisir de la destruction est le m�me que celui qui permet de dispara�tre dans l'irr�el. Tous ceux qui souhaitent d�fier le monde endormi doivent devenir membres de ce mouvement. Je d�nonce la Dualit� aux pieds fourchus avec mon marteau. "

Deux :

" Consid�re mes le�ons comme ton juste ch�timent de mortel, N�r�var. Quand on est poussi�re, comment s'�tonner d'�tre trait� comme tel par ses ge�liers ? Telles sont la cl� et la serrure des Daedras. Pourquoi crois-tu qu'ils ont pu si l�chement �chapper au compromis ? "

Trois :

" Ton �piderme est devenu l'obscurit� qui s'appr�te � donner naissance, V�lothi. Ce sont mes ruminations qui ont amen� ceci. Souviens-toi que Bo�thia t'avait demand� de prendre la couleur des coups. Car comment te montrer la plus vitale des valeurs, peuple de l'exode ? La douleur. "

Quatre :

" Le sage n'est pas une enclume. (Cette phrase est conventionnelle mais ne va pas plus loin.) Ce que je veux dire par l�, c'est la mort, la quatri�me voie. "

Cinq :

" Comment comprendre
les vertus : elles sont orchestr�es par un ma�tre d'oeuvre et doivent �tre assassin�es. "

Six :

" Au bout du compte, r�jouis-toi tel un otage lib�r� apr�s avoir �t� tortur� et qui appr�cie ses blessures � leur juste valeur. La peau du tambour se perce et tu trouves un nid de frelons � l'int�rieur, ce qui signifie que ton temps de sommeil est termin�e. "

Sept :

" La suspicion est un spectacle et le mensonge une inspiration th�orique. "

Huit :

" Mais alors, pourquoi les Daedras cherchent-ils � s'impliquer avec l'Aurbis, te demandes-tu ? Tout simplement parce qu'ils sont les critiques radicaux, aussi essentiels que les martyrs. Le fait que certains semblent plus malfaisants que d'autres n'est pas une illusion. Ou plut�t, c'est une illusion n�cessaire. "

Les mots s'arr�tent � ALMSIVI.